Des militants de l’UFDG en détention préventive depuis plusieurs mois à la maison centrale de Conakry, ont décidé d’entamer une grève de la faim pour se faire entendre.
A travers des lettres adressées au régisseur, ils dénoncent des traitements inhumains, manques de soins médicaux, harcèlements et manques de visite de leurs parents.
Ci-dessous la lettre d’un d’entre eux
